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    Springer
    Social psychiatry and psychiatric epidemiology 4 (1969), S. 87-94 
    ISSN: 1433-9285
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé On discute l'attitude de la société moderne à l'endroit des malades mentaux sur la base de nombreuses études américaines et de quelques études européennes sur ce sujet complexe en usant de nouvelles conceptions dans le domaine sociopsychologique et dans celui de la science des communications; de cette attitude dépend le succès de nouvelles méthodes de traitement psychiatrique. Aux Etats-Unis et, dans une plus large mesure encore en Europe, elle se caractérise par de l'ambivalence, des connaissances insuffisantes et un rejet qui provient de l'angoisse éprouvée devant le comportement incompréhensible du malade mental et de la «Horror about Dehumanization». Cette attitude négative, qui s'est cependant quelque peu améliorée ces dernières années, détermine également les réactions à l'égard des psychiatres, des institutions psychiatriques et des méthodes de traitement, et, ce qui est particulièrement malheureux, à l'égard des anciens patients. Ces réactions face au problème de la maladie psychique varient selon les traits de la personnalité, des facteurs démographiques tels que sexe, âge, état civil, et des facteurs sociaux tels que religion, formation scolaire et professionnelle, en général selon la classe sociale et le milieu socio-culturel. On considère les campagnes d'information du public comme efficaces dans la mesure où elles renseignent tout en diminuant cette angoisse.
    Abstract: Zusammenfassung Die Haltung der modernen Gesellschaft zu den Geisteskranken, von der der Erfolg neuer psychiatrischer Behandlungsweisen abhängt, wird anhand von zahlreichen amerikanischen und einigen europäischen Studien über diesen Komplex und sozialpsychologischen und kommunikationswissenschaftlichen Erkenntnissen diskutiert. Die Einstellung zur Geisteskrankheit ist in den USA und in stärkerem Maße noch in Europa gekennzeichnet durch unsicheres, mangelhaftes Wissen und Ablehnung, die aus der großen Angst vor dem unverständlichen Verhalten des Geisteskranken und dem „Horror about Dehumanization“ entspringt. Diese negative Haltung, die sich allerdings in den letzten Jahren etwas gebessert hat, bestimmt auch die Einstellung zum Psychiater, zu psychiatrischen Institutionen und Behandlungsmethoden, und, das ist besonders verhängnisvoll, zum psychiatrischen Expatienten. Die Einstellungen zu Fragen psychischer Krankheit variieren je nach Merkmalen der Persönlichkeit, demographischen Faktoren wie Geschlecht, Alter, Familienstand und sozialen Kennzeichen wie Religion, Ausbildung, Beruf, überhaupt sozialer Schicht und sozio-kulturellem Milieu. Aufklärungsmaßnahmen werden als erfolgversprechend gesehen, wenn sie Wissen so vermitteln, daß auch die Angst verringert wird.
    Notes: Summary The attitude of modern society towards the mentally ill, on which the success of the new psychiatric methods of treatment depends, is discussed in the light of the many American and few European studies available. These attitudes are characterized by ignorance, uncertainty and rejection, arising from a great fear of the incomprehensible behaviour of the mentally ill and from a horror of dehumanization. Although there has been some improvement in recent years, attitudes to psychiatrists, to psychiatric institutions and methods of treatment, and particularly to ex-patients, are determined by similar factors. Attitudes to psychiatric illness vary with characteristics of personality; demographic factors such as sex, age and family status; and social characteristics such as religion, education, profession, and above all social class and socio-cultural milieu. Explanation is only likely to be successful if knowledge is promulgated in such a way that it also reduces anxiety.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 2
    Electronic Resource
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    Springer
    Social psychiatry and psychiatric epidemiology 7 (1972), S. 53-69 
    ISSN: 1433-9285
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Ce travail est basé sur les données d'une étude plus vaste de l'incidence des troubles mentaux à Mannheim (Allemagne de l'Ouest) en 1965. La méthode est discutée en particulier par rapport aux maladies psychiatriques dans la vieillesse. L'incidence de la population de Mannheim âgée de plus de 60 ans est 11. 17 pour mille. — Parmi les diagnoses, les processus dégénératifs s'élèvent à 54%, les psychoses affectives à 15%, les troubles encéphaliques aigus et chroniques à 12%, les troubles névrotiques à 7%, l'alcoolisme et la toxicomanie à 6%, la schizophrénie à 4%. Les hommes âgés souffrent plus souvent de troubles encéphaliques divers et d'alcoolisme que les femmes qui présentent plus souvent une psychose affective ou une névrose. Ceci est interprété comme reflétant la tentative propre à chaque sexe de résoudre ses problèmes. Les incidences spécifiques de l'âge diffèrent également par sexe. Le risque relativement bas de maladie mentale chez les hommes de plus de 65 ans fait naître des doutes quant au “choc de la retraite”. Le rôle de l'isolement social n'a pas pu être déterminé, mais le matériel montre bien la relation entre status social et diagnose, relation mentionnée pour la premiére fois par Hollingshead et Redlich. De même, et ceci confirme des études antérieures, les taux d'incidence sont plus élevés dans les zones centrales de la ville que dans les zones périphériques. — Le plus grand groupe de patients psychiatriques âgés est vu ou soigné ambulatoirement par des psychiatres en pratique privée. Les hospitalisations ont lieu principalement dans trois hôpitaux généraux sans services psychiatriques, et secondairement dans un hôpital psychiatrique d'état proche, où les patients de plus de 60 ans représentent presque la moitié des premières admissions. Les patients hospitalisés souffrent davantage de troubles encéphaliques divers que de troubles de type non organique et sont plus fréquemment âgés de plus de 70 ans que les patients ambulatoires. Les membres des classes sociales inférieures sont plus souvent hospitalisés k l'hôpital psychiatrique d'état, à un âge plus avancé et avec davantage de troubles graves. Les patients âgés des classes supérieures ou moyennes sont soignés plus tôt pour des affections moins graves par un psychiatre en pratique privée. Pour cette distribution qui est le résultat de la façon dont chaque classe cherche de l'aide, les facteurs socio-économiques semblent moins déterminants que les facteurs de connaissance et d'attitude liés à la classe sociale.
    Abstract: Zusammenfassung Diese Untersuchung gründet sich auf Material aus einer größeren Erhebung zur “Konsultations-Inzidenz” psychischer Störungen in Mannheim. Das methodische Vorgehen, besonders im Hinblick auf psychische Erkrankungen im Alter, wird dargestellt und diskutiert. — Die Konsultations-Inzidenzrate 1965 für Einwohner Mannheims über 60 Jahre beträgt 11, 17 o/oo. In der Rangliste der Diagnosen stehen Abbauprozesse mit 54% an erster Stelle, gefolgt von affektiven Psychosen mit 15%, akuten und chronischen Hirnsyndromen mit 12%, neurotischen Störungen mit 7%, Alkoholismus und Suchten mit 6%, Schizophrenie mit 4% und anderen und nicht klassifizierbaren psychischen Störungen mit 2%. — Alte Männer erkranken häufiger an Hirnsyndromen und Alkoholismus, Frauen häufiger an affektiven Psychosen und Neurosen, möglicherweise bedingt durch geschlechtsspezifische Verarbeitungsmuster: Männer greifen mehr zum Alkohol, Frauen neigen mehr zu Introversion und intrapunitiver Verarbeitung. Auch die Altersverteilung der Inzidenz psychischer Störungen bei Frauen unterscheidet sich von derjenigen der Männer, bei denen das Nachlassen des Erkrankungsrisikos nach dem 65. Lebensjahr Zweifel an der weiten Verbreitung des “Pensionierungsschocks” aufkommen läßt. -Die Bedeutung sozialer Isolation für psychische Erkrankungen bei alten Menschen ließ sich anhand des Materials nicht klären. Dagegen zeigten sich auch in unserer Patientengruppe die von Hollingshead und Redlich aufgewiesenen Zusammenhänge zwischen sozialem Status und diagnostischem Etikett. Die ökologische Analyse erbrachte besonders hohe Inzidenzraten in der Innenstadt, weniger hohe in den Stadtrandbezirken. Die psychisch kranken Alten werden in Mannheim zu einem sehr großen Teil von niedergelassenen Psychiatern ambulant behandelt. Hospitalisiert werden sie vor allem in drei Allgemeinkrankenhäusern ohne psychiatrische Abteilung und in zweiter Linie in einem nahegelegenen psychiatrischen Landeskrankenhaus. Dort stellen die psychisch Kranken über 60 Jahre fast die Hälfte der Erstaufnahmen. Stationär behandelte alte Patienten leiden häufiger an hirnorganischen Syndromen als an funktioneilen Störungen und sind häufiger über 70 Jahre alt als Alterskranke in ambulanter Behandlung. Angehörige der sozialen Unterschicht werden häufiger, in höherem Alter und mit schwereren Störungen im psychiatrischen Landeskrankenhaus erstbehandelt. Angehörige der sozialen Ober- und Mittelschicht werden häufiger in niedrigerem Alter und bereits bei leichteren Störungen vom niedergelassenen Facharzt erstmalg versorgt. In der Deutung dieser Verteilung wird angenommen, daß sozio-ökonomische Faktoren eine geringere, sozialschichtabhängige kognitive und Einstellungsfaktoren, insbesondere beim Hilfesuchverhalten, eine größere Rolle spielen.
    Notes: Summary This study is based on data from a more comprehensive survey of the “consultation — incidence” of mental disorders in Mannheim (West Germany) 1965. The method is discussed with particular reference to psychiatric illness in old age. The incidence rate of the population of Mannheim over 60 is 11. 17 per thousand. — Among the diagnoses degenerative processes amount to 54%, affective psychoses to 15%, acute and chronic brain syndromes to 12%, neurotic disorders to 7%, alcoholism and addiction to 6%, schizophrenia to 4%. Old men suffer more often from brain syndromes and alcoholism compared to women who show a higher incidence of affective psychosis and neurosis. These findings are interpreted as sex-specific attempts of problem-solving. The age-specific incidences of women and men are also different. The relatively low risk of mental illness of men over 65 gives rise to doubts in the “retirement-shock”. The role of social isolation could not be determined, but the material does reveal the relation between social status and diagnostic label first pointed out by Hollingshead and Redlich. In agreement with earlier studies as well, the incidence rates in the city are higher than at the outskirts. — The largest group of older psychiatric patients is seen or treated as outpatients by psychiatric practitioners, Hospitalization is occuring primarily in three general hospitals without psychiatric wards, secondarily in a nearby state mental hospital where the patients over 60 make up nearly half of the first admissions. Old inpatients are suffering more from brain syndromes than from functional disorders and are more frequently over 70 than old outpatients. Members of the lower social classes are more often hospitalized in the state mental hospital, at an older age and with more severe disorders. Old patients from the upper or middle classes are treated earlier with minor disturbances by a psychiatric practitioner. For this distribution, the result of class-specific help-seeking behavior, socio-economic factors seem less responsible than cognitive and attitudinal factors related to social class.
    Type of Medium: Electronic Resource
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