In:
Cahiers de sociologie économique et culturelle, PERSEE Program, Vol. 11, No. 1 ( 1989), p. 109-121
Abstract:
Il y a trois religions principales au Japon, le shintoïsme propre au Japon, le bouddhisme qui est né en Inde et le christianisme. Il y a de nombreux sanctuaires et temples pour les deux premières. Elles sont si étroitement liées à la vie de la nation qu'il serait impensable pour elles de ne pas en avoir dans leur communauté. Cependant on dit parfois que les Japonais ne sont pas religieux ou qu'ils ne sont pas intéressés par la religion, que pour la majorité d’entre eux ils n'ont pas l'habitude de visiter les lieux sacrés, de prier comme on le voit dans les pays occidentaux. Mais ce n'est pas exact. Les shintoïstes ou les bouddhistes, après tout, pensent plus au monde réel qu'à l'autre monde, au monde éternel, bien qu'ils aient la croyance en ce monde. Ce sens de la réalité se lie avec le concept de Kami et de Hotoke qui sont principalement les esprits des humains défunts et donc des êtres familiaux pour les vivants. Le genre de vie est finalement produit par la conception religieuse en tant que conception fondamentale d'une valeur, que cette conception religieuse soit positive ou négative. En jugeant d'après le cas des Japonais, je dirai qu'on devrait avoir connaissance de ce domaine pour une compréhension mutuelle profonde entre les différentes nations.
Type of Medium:
Online Resource
ISSN:
0761-9871
DOI:
10.3406/casec.1989.1609
Language:
French
Publisher:
PERSEE Program
Publication Date:
1989
SSG:
3,4
SSG:
5,2
Permalink