Abstract: Résumé Sur la base de recherches faites par l'auteur sur la membrane muqueuse de l'utérus du rhésus, l'innervation des glandes et des vaisseaux pouvait être démontrée clairement à l'aide de la méthode à l'osmium-iodure de zinc d'aprèsMaillet. Il était possible de confirmer et d'étendre les constatations faites parMoricard etGiro et parCasaglia etGiro. Le fait qu'on pouvait trouver, dans la membrane muqueuse d'un rhésus, des hyperplasies locales d'éléments nerveux donnait lieu au rapport sur une hyperplasie de tels éléments aussi dans l'endométrium humain. Cela pouvait être démontré au-dedans de la neurofibromatose d'après Recklinghausen, en forme du «neurofibrome encapsulé» d'aprèsMasson que l'on n'a pas encore observé dans l'utérus. La conduite frappante d'éléments provisoirement appelés «cellules osmiophiles», qui étaient décrites dans l'endométrium pour la première fois parMoricard etGiro, est démontrée moyennant deux cas pris du matériel de recherche examiné jusqu'à présent et obtenu par opération; les problèmes qui en résultent sont discutés brièvement.

Abstract: Résumé A l'aide de la méthode à de l'osmium et du zinc iodique d'aprèsMaillet, l'innervation de la glande thyroïde du lapin était étudiée. Cette méthode est capable de représenter simultanément des parties afférentes et efférentes du système nerveux périphérique ce qui, en employant des méthodes à de l'argent, n'était possible que dans des cas exceptionnels. L'innervation remarquable et extrêmement riche du système vasculaire que, pour l'ordinaire, on ne trouve pas à ce degré dans d'autres régions du corps, est expliquée par l'existence de nombreux bouts récepteurs. De tels bouts sont trouvés comme des formes isolées plus larges en forme de grappes dans la paroi de vaisseaux plus grands et dans une forme plus petite, mais en plus grand nombre, surtout dans les bifurcations de l'arbre vasculaire. Dans le tissu connectif interstitiel, toujours, cependant, en connexion étroite avec la paroi des vaisseaux capillaires, il y a de petits bouts ressemblant à des pistons, des bords ou des grappes qui, d'après notre avis qui diverge de l'opinion d'autres auteurs, appartiennent directement au système vasculaire. Sporadiquement et non appartenant à tous les follicules, on pouvait constater des bouts plus petits en forme de pistons. Dans nos préparations, nous n'avons pas réussi à constater avec certitude leur contact plasmique étroit avec le plasma et les noyaux des cellules glandulaires, comme il a été décrit par d'autres auteurs. Jusqu'à quel point ces formations sont des récepteurs de pression ou des récepteurs chimiques ne peut pas être décidé en considération des résultats neurohistologiques. Des cellules représentables simultanément avec les formations terminales qui ont un protoplasma très osmophile, en partie homogène et en partie granulé, comme on l'a pu constater dans toutes les glandes exocrines étudiées jusqu'à présent, ne peuvent pas être vues dans la glande thyroïde. Cela mène à la conclusion que la glande dirigée seulement par des hormones n'est pas influencée par les substances efficaces produites par ces cellules (p.e. l'histamine, la sérotonine etc.), contrairement aux glandes exocrines. Jusqu'à présent nous ne pouvions pas constater des cellules ganglionnaires isolées ou en groupes. Les connexions entre la glande thyroïde et le système nerveux sympathique, comme elles étaient observées cliniquement, peuvent être regardées, abstraction faite de l'effet général direct du produit glandulaire d'augmenter le métabolisme, d'après les constatations neurohistologiques, comme des processus réflexes répondant à des signaux d'alarme et à des stimulations excessives des sites nerveux de régularisation causées de cette manière.

Abstract: Résumé 1. 4 cas de sclérodermie circonscrite, et 3 cas de sclérodermie généralisée ainsi que 2 cas de sclérodactylie sont décrits. Les altérations du tissu conjonctif, de la substance intercellulaire colloïde, des vaisseaux sanguins et des nerfs sont discutées et illustrées. 2. La sclérodermie circonscrite et la sclérodactylie sont confrontées. Les deux maladies montrent un antagonisme marqué concernant plusieurs points de vue, ce qui facilite leurs classification microscopique. Cette confrontation justifie l'opinion que les deux maladies appartiennent à la catégorie de si-dites mesenchymopathies. 3. Nos recherches à l'égard de la sclérodermie diffuse ne sont pas assez approfondies pour pouvoir delinéer la maladie proprement. Ainsi la classification de cette sorte de sclérodermie concernant l'opinion mentionnée à ce sujet dans la littérature d'une manière ou l'autre ne peut être précisée à ce moment.